J'ai privilégié les scènes urbaines où s'exprime l'anonymat interchangeable des personnes et des périphéries où le virtuel est un défi au réel tout autant qu'à notre capacité à le représenter et où l'absent s'impose, paradoxalement !.
J'ai utilisé comme matériau du "plastique" transparent pour sa malléabilité, ses reflets, son lien puissant et décrié avec le monde contemporain en pleine mutation.